Pierre Delacroix est un nouveau contributeur au magazine Réflexions. Il interviendra dès le n°4 à paraître en août, des débuts en fanfare avec :
- côté politique, une rubrique intitulée "Comment briller en soirée complotiste ?" qu'il a créée et qu'il alimentera chaque trimestre,
- côté littéraire, une nouvelle intitulée Militants.
Voici pour vous le dernier article qu'il a écrit : Evolution, de la théorie au mensonge
***
La
théorie de l'évolution prétend nous faire croire que toute espèce a évolué en
passant par diverses étapes avant d'arriver à son état final. Ainsi, l’espèce
humaine descendrait en dernier lieu de l'état du singe. Cette idée est farfelue
mais pourtant encore aujourd'hui très solidement installée dans l'esprit de
nombreuses personnes, et pas seulement dans l'esprit des hippies fumeurs de
joints qui, c'est vrai quand on les regarde, pourraient nous faire douter. Cette
théorie est également bien enracinée dans le cerveau de personnes plus
visuellement supportables. Un chanteur « populaire » ira même jusqu’à
en faire une chanson : Je descends du singe, en voilà un qui aura bien
appris ses leçons à l'école.
Pourtant, la théorie selon laquelle l'homme descendrait du singe a depuis longtemps été
contredite par les scientifiques. Thomas Morgan (prix Nobel de physiologie en
1933) : Dans l'histoire de l'humanité, nous n'avons connaissance
d'aucun cas de transformation d'une espèce à une autre.
Il
est vrai que nous avons des gènes communs avec les singes, tout comme nous
avons 60% de notre patrimoine génétique identique à celui de la mouche, 70%
avec la limace, 80% avec la vache et même jusqu’à plus de 98% avec les
dauphins.
La
théorie de l’évolution, basée sur le livre L'origine des espèces du naturaliste anglais Charles Darwin, a été fortement relayée et mise en avant
par opposition à la religion qui dit que l'homme a été créé par Dieu à son
image. Les athées et autres anticatholiques ont vu dans cette idée saugrenue
l'opportunité de contredire les croyants. Pourtant, si cette théorie n'est
restée qu'une théorie et non une vérité, c'est parce que toutes les découvertes
scientifiques vont à l'encontre de cette idéologie.
L'étude
des fossiles, qui est la base du travail sur l'évolution, devrait nous montrer une
quantité astronomique d'étapes intermédiaires de l'évolution des espèces. Or il
n'en est rien. L'étude des « fossiles vivants », qui détaille les
espèces encore présentes sur terre, nous montre au contraire une grande
stabilité des espèces au fil du temps.
Charles
Darwin lui-même émettra des réserves sur sa théorie dans son livre : Si l'on
arrivait à démontrer qu'il existe un organe complexe qui n'a pas su se former
par une série de nombreuses modification graduelles et légères, ma théorie ne
pourrait certes plus se défendre. Or on peut aujourd'hui facilement
démontrer qu'un organe complexe n'a pas subi de nombreuses modifications, sans
oublier le cas évident du processus complexe de la coagulation sanguine : si
le sang de nos ancêtres n’avait pas coagulé, ils se seraient vidés de leur sang
à la moindre coupure, et nous ne serions plus là pour en parler. Voilà une
preuve toute scientifique d’absence totale de modification, d’absence radicale d’« évolution »…
Donc comme le dit Charles Darwin, sa théorie ne peut plus se défendre.
Paul
Lemoine (ancien directeur et professeur au Muséum national d'Histoire
naturelle) ira également dans ce sens en déclarant : L'évolution est une
sorte de dogme auquel ses prêtres ne croient plus mais qu'ils maintiennent pour
leur peuple. Cela il faut avoir le courage de le dire, pour que les hommes de
la génération future orientent leurs recherches d'une autre façon. Il est temps
de revenir à l'enseignement limpide et éprouvé des écritures au sujet de nos
origines : Dieu créa [chaque créature] selon son espèce.
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